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​En France, un consortium de chercheurs, médecins, ingénieurs développent un logiciel pour améliorer le suivi des patients transplantés rénaux

4/30/2021

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Six centres hospitaliers-universitaires. Trois entreprises de pointe dans le secteur informatique et médical. Des centaines de volontaires. Des milliers de données…

Ces quelques chiffres montrent l’ampleur de KTD-innov, un consortium public-privé visant à mieux comprendre les greffes de reins, puis à développer un logiciel de diagnostic et de prévisions à l’usage des médecins comme les patients. Comment travaillent les chercheurs impliqués, et dans quelle phase du projet sont-ils aujourd’hui ? 

​Pour nous éclairer, Magali Giral (professeure en néphrologie et directrice de recherche clinique au CHU de Nantes) a eu l’amabilité de répondre à nos questions.

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L’expertise industrielle de Sebia au service des patients greffés du rein

3/8/2021

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​​Le projet KTD-innov* continue d’avancer dans le développement d’un système diagnostic de l'activité et du stade du rejet de greffon rénal. Pour atteindre cet objectif, un nouveau partenaire vient de rejoindre le consortium fin 2020 : la société Sebia, leader de la technique de séparation des protéines appliquée au diagnostic in vitro. Entretien avec Pierre Sonigo, Directeur Recherche & Développement, ainsi qu’avec l’équipe de recherche autour des nouveaux marqueurs.
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Avancées du projet

11/2/2020

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En septembre, a eu lieu l'audition du projet par des experts de l'ANR pour évaluer l'avancement scientifique du projet.

Dès l'année dernière, l'objectif de recrutement a été atteint grâce aux patients volontaires qui ont acceptés de faire partie de cette étude. Ces patients sont suivis dans le cadre du projet pendant les 12 mois suivants leur greffe de rein. 

La crise sanitaire de la COVID-19 a eu un impact sur le déroulement de l'étude. Dès le début de la quarantaine du printemps, certains laboratoires d'analyse des échantillons se sont reconvertis pour offrir leur aide à l'effort anti-COVID. Dès cet été, l'étude a pu reprendre avec la reprise des analyses des échantillons de l'étude. De plus, certains patients suivis ont vus leurs visites de contrôle reportées. Heureusement, les visites ont repris dès la fin du confinement.

La première étude se termine avec la collecte et l'analyse des derniers échantillons de patients. Dès à présent, le consortium se prépare à la deuxième étude, qui doit commencer en début d'année prochaine, avec l'intégration de l'ensemble des données collectées dans la première étude. Cette intégration permettra de concevoir des algorithmes pour prédire le risque de rejet et proposer un outil diagnostic aux cliniciens pour l'aide au suivi des patients de la deuxième étude.
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La signature transcriptomique : une piste pour le suivi personnalisé des patients greffés du rein

9/24/2020

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Améliorer les processus de suivi de rejet de greffon pour perfectionner la transplantation rénale et donc favoriser le confort des patients : tels sont quelques-uns des objectifs du projet KTD-innov. C’est pourquoi les chercheurs visent aujourd’hui à trouver de nouveaux biomarqueurs fiables permettant de prédire les rejets de greffe. L’analyse de la signature transcriptomique apparaît comme une piste prometteuse pour le suivi personnalisé des patients greffés du rein. Focus sur cette technique développée au sein du projet.
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KTD-innov au Congrès virtuel ATC 2020

5/29/2020

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L'American Transplant Congress (ATC) est un événement annuel majeur pour les experts de la transplantation d'organes du monde entier. L'édition 2020 était initialement prévue à Philadelphie, aux États-Unis. Suite aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et des administrations nationales et locales concernant l’épidémie de Covid-19, l'événement en présentiel a été annulé. Il est remplacé par un congrès virtuel de 3 jours qui débute le 30 mai 2020. Les sessions et les présentations sont diffusées sur une plateforme en ligne.

Le thème choisi pour cette année est "La science de demain commence aujourd'hui". Les discussions portent sur les dernières recherches en matière de transplantation d'organes.

Des membres du projet KTD-innov assistent à l'événement. Toutes leurs présentations sont disponibles sur le programme de l'ATC 2020 en ligne.
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L’état et les enjeux de la transplantation rénale en chiffres

3/11/2020

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​Jalonné de nombreux progrès au cours de son histoire, le domaine de la transplantation connaît encore des défis à relever dans le suivi des patients après la greffe. C’est pourquoi le projet KTD-innov vise à mettre en place un système de prédiction du rejet de greffon qui fournit une probabilité des risques individuels. Depuis les premières expériences de greffes au début du XXe siècle, quels sont les enjeux de la transplantation rénale aujourd'hui ? Réponse en chiffres.

​La greffe de rein, une histoire française depuis le XIXème siècle

Dans l’histoire de la médecine, le chapitre dédié à la greffe d’organe débute à la fin du XIXe siècle, et la transplantation rénale y joue un rôle essentiel car elle est la greffe la plus réalisée au monde.

C’est à Lyon qu’officiaient les pionniers de la transplantation : le docteur Alexis Carrel, tout d’abord, qui réussit en 1908 la première transplantation rénale chez l’animal et mit en évidence l’intérêt du froid pour préserver les organes ; le docteur Mathieu Jaloubay, ensuite, qui expérimenta les premières greffes rénales sur l’humain. 
La France continuera de jouer un rôle majeur dans le domaine de la transplantation rénale avec la découverte du phénomène de compatibilité des organes, grâce aux travaux des docteurs Dausset et Hamburger, des hôpitaux Saint-Louis et Necker en 1962, jusqu’à l’instauration des lois de bioéthique en 1994 qui placent le bien-être du patient au centre de la recherche médicale.

​Depuis 1959, la France cumule près de 90 000 opérations de greffes de reins, plaçant ainsi la transplantation rénale comme un traitement important dans la prise en charge des insuffisances rénales chroniques (IRC).

82 000 personnes en insuffisance rénale chronique TERMINALE (IRCT) en FrancE

L’insuffisance rénale chronique (IRC) est aujourd’hui considérée comme l’un des enjeux de santé publique majeurs par l’Organisation Mondiale de la Santé. En France, elle touche près de 82 000 personnes et l’Inserm indique que le nombre de patients concernés augmente de 2 % chaque année.
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Deux options sont envisageables lorsque la maladie atteint un stade terminal (Insuffisance Rénale Chronique Terminale - IRCT). La plus courante est l’hémodialyse. Cette technique de filtrage du sang reste à ce jour contraignante, le patient devant être dialysé sur une durée de 4 heures, 3 fois par semaine.

​L’autre solution proposée aux personnes atteintes d’IRCT est la transplantation rénale. La Haute Autorité de Santé (HAS) estime que la greffe offre une meilleure qualité de vie comparée à la dialyse. En effet, la greffe permet de retrouver une activité rénale presque normale tout en maintenant un mode de vie proche de la “normale”. 

Plus de 6 400€ : le coût mensuel de l’Insuffisance Rénale Chronique Terminale (IRCT)

Alors qu’une dialyse peut coûter jusqu’à 7 200 € par mois, le coût d’une transplantation rénale s’élève entre 6 400 et 6 800 €. La greffe de rein représente donc une alternative bien plus économique que la dialyse avec près de 25 millions d’euros économisés sur les frais de santé sur l’ensemble des patients greffés en France en 2018.
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Plus de 3 500 greffes de reins effectuées chaque annéE

Ils étaient 3 567 nouveaux greffés en 2018, d’après l’Agence de la Biomédecine, soit 215 de moins qu’en 2017, marquant un recul de l’activité de greffe rénale de 11%. Or le taux de croissance du nombre d’inscrits sur liste d’attente augmente d’année en année, avec 19 625 patients en attente d’une greffe en 2018 dont 5 269 nouveaux inscrits en liste d’attente, contre 4 557 nouveaux inscrits en 2013. Toutefois la situation s’améliore avec un regain du nombre de greffes réalisées en 2019 avec 3 641 opérations.

1 greffon disponible pour 5 personnes en attentE

En 2018, pour chaque greffon rénal disponible, plus de 5 personnes étaient inscrites sur liste d'attente. La HAS estime également que seuls 31 % des patients recevront une greffe dans la première année suivant leur inscription sur la liste des receveurs potentiels. Jusqu’à 15 % d’entre eux devront attendre plus de 5 ans. 

Comment lutter contre la pénurie de greffons disponibles à la transplantation rénale pour assurer le confort et les chances de rétablissement des patients ?​

85% des greffons rénaux proviennent de donneurs décédéS

La source principale de greffons provient de dons de patients décédés. En 2018, on comptait 1 881 donneurs d’organes en état de mort cérébrale. La grande majorité (93%) de ces personnes ont fait don d’au moins un rein. En 2006, le don d’organes s’est ouvert aux personnes décédées suite à un arrêt cardiaque. Aujourd’hui, grâce à cette mesure, 8 % des greffons proviennent de personnes décédés d’un arrêt cardiaque. 

Les donneurs vivants constituent 15 % des dons. L’Agence de Biomédecine estime que ce nombre est faible et est dû à la réticence des patients à faire courir un risque à leur entourage et une méconnaissance de la maîtrise du suivi médical des donneurs. Pourtant ces donneurs sont en meilleure santé que la population générale, en raison de l’exigence des cliniciens sur le suivi des donneurs. 

2 fois moins de greffons non attribués en France qu’aux US​

Dans le système d’allocation français des reins pour la greffe, seuls 9 % des reins ne sont pas attribués. Une étude publiée dans le JAMA Internal Medicine montre qu’aux Etats-Unis, c’est 18% des reins qui ne sont pas greffés alors que la demande est également en augmentation. Le bilan de la transplantation rénale française reste donc positif. 

60% des greffes sont des transplantations rénaleS

L’Agence de la Biomédecine rapporte en 2018, 3 567 greffes de reins pour 1 325 greffes de foie et 450 greffes de cœurs. Malgré l’état de pénurie, le rein reste donc l’organe le plus largement transplanté.

Un greffon rénal survit en moyenne 12,4 anS

Aujourd’hui, la HAS mesure à 12,4 ans, en moyenne, la survie du greffon, suite à quoi le greffon cesse de fonctionner convenablement. Le patient doit alors subir une nouvelle transplantation ou retourner en dialyse. Le taux de survie des greffons s’est stabilisé depuis les années 2010. En 2015, 1 032 patients greffés ont dû revenir sur la liste d’attente des candidats à la greffe.

La défaillance du greffon est notamment due aux mécanismes immunologiques autour du rejet, et le domaine de la transplantation manque encore d'évaluations solides pour le suivi immunitaire. Il s'agit là d’un problème majeur pour l’adaptation des soins et pour l'allongement de la survie des greffons. 

C’est sur cette problématique que le projet KTD-innov concentre ses efforts. Ce projet vise à établir un système de prédiction du rejet, et à fournir une probabilité des risques individuels de rejet de greffe par la mise en place d’un système de diagnostic de précision, adressant l'activité et le stade du rejet de greffon.
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​Bilan annuel du projet KTD-innov : 800 patients suivis et une coopération forte

2/8/2020

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Le 7 février dernier a eu lieu le meeting annuel du consortium KTD-innov. Venant de différentes régions de France, les partenaires du projet se sont réunis afin de faire le point sur les avancées du projet et les étapes à venir.
Première nouvelle de ce meeting : une grande étape du projet de recherche KTD-innov vient d'être franchie avec le recrutement de plus de 800 patients greffés d'un rein dans les centres de transplantation de Bordeaux, Lyon, Montpellier, Nantes, Paris et Toulouse. L'objectif de recrutement a été atteint grâce aux patients volontaires qui ont accepté de faire partie de cette étude. Ces patients seront suivis dans le cadre du projet pendant les 12 mois suivants leur greffe. 
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​La prochaine étape clé est la collecte et l'analyse des échantillons de sang, d'urine et de biopsie. La réunion annuelle a été l'occasion de faire le point sur la coordination entre les centres de transplantation - où les échantillons sont collectés - et les centres d'analyse. ​

Ce projet de recherche collaboratif permet de mettre en place des processus de collecte standardisés entre les différents centres, améliorant la qualité des échantillons et donc la qualité des résultats d'analyse.
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​En parallèle et depuis deux ans, les scientifiques impliqués dans ce projet de recherche français travaillent à l'amélioration des techniques d'analyse et le savoir-faire technique de leurs équipes. Ils ont d’ores et déjà optimisé leur capacité de traitement des échantillons, ainsi que la qualité des résultats qui sont et seront produits.

Dans les mois à venir, les chercheurs de l'étude KTD-innov devront relever de nombreux défis. En particulier, l'agrégation des données issues de l’analyse des échantillons en conformité avec les différentes réglementations en vigueur. Avec l'inclusion des données collectées lors d’études précédentes, la base de données finale contiendra les informations de suivi de plus de 5 000 transplantations rénales.
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D'ici 2022, l’objectif à atteindre est le développement d'un algorithme pour exploiter cette base de données à des fins de recherche. La conception d'une interface visuelle est également prévue pour comparer le statut d'un patient transplanté à celui d'un autre. L'objectif à long terme est de déployer auprès des médecins cet algorithme sous forme d'un système diagnostic et de prédiction du rejet du greffon rénal. 

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Toulouse au centre de la recherche en transplantation rénale

1/23/2020

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​Chef du service de transplantation rénale du CHU de Toulouse, le professeur Nassim Kamar est à la fois néphrologue et chercheur. Il bénéficie d’une réputation mondiale grâce à ses recherches en transplantation rénale. Son double statut de Professeur Universitaire - Praticien Hospitalier lui permet de mener et diriger des recherches médicales tout en continuant d’accompagner des patients. Grâce à son expérience auprès des patients et de son expertise académique, le Pr Kamar est l’un des investigateurs principaux du projet.
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Pr Nassim Kamar

​Les patients, premier maillon de la recherche médicale

A Toulouse comme dans les autres centres de recherche, le succès de l’étude KTD-innov est impossible sans une collaboration étroite avec les patients. Leur participation permet aux chercheurs d’obtenir de précieuses données destinées à mieux comprendre les phénomènes de rejet des greffons rénaux et améliorer la prise en charge et le suivi des patients après la transplantation. 

Le rôle du CHU de Toulouse, en tant que centre recruteur pour KTD-innov, est d’établir ce partenariat avec les patients transplantés. L’équipe du Pr Kamar au CHU de Toulouse se charge d’informer et de collecter les échantillons des patients volontaires, recrutés au moment lors de leur suivi au CHU. Ces échantillons font majoritairement partie des prélèvements usuels nécessaires au suivi normal des patients greffés et des donneurs. Ils sont complétés par quelques prélèvements dont les analyses fourniront des données nécessaires et spécifiques à l’étude. L’ensemble de ces échantillons est confié aux laboratoires d’analyses partenaires du projet KTD-innov.

​L’unité de transplantation d’organes (UTO) de l’hôpital Rangueil à Toulouse, coordonnée par le Pr Kamar, est la seule en France qui regroupe les transplantations adultes de rein, mais également de pancréas, de foie, de poumons et du cœur. L’unité de transplantation suit près de 1500 patients et a réalisé 293 greffes en 2016, ce qui en fait l’un des leaders français dans le domaine de la transplantation.
C’est pourquoi, son expertise, en matière de soin et de suivi des patients greffés, fait du service du Pr Kamar un atout majeur pour le projet KTD-innov. L’hôpital de Rangueil est ainsi le 3e centre en terme d’inclusion de patients au sein de l’étude.

Un réseau collaboratif au service des patients et de la recherche

Dans le cadre de l’étude KTD-innov, le CHU de Toulouse fait partie d’un consortium de 9 partenaires dont 2 industriels et 7 centres hospitaliers et académiques. Parmi eux, on compte aussi bien des centres recruteurs, à l’instar du CHU de Toulouse, que des plateformes d’analyse qui ont l’équipement nécessaire pour extraire des échantillons collectés les données voulues : présence de certaines protéines et anticorps ou encore données transcriptomiques.  

Cette volonté collaborative, impliquant acteurs publics et privés dans des équipes pluri-disciplinaires, reflète la détermination des acteurs français de la santé à améliorer la prise en charge des patients ayant reçu une transplantation rénale.

​Les projets de recherche Hospitalo-Universitaire comme KTD-innov sont financés par le gouvernement français, ce qui est, pour le Pr Kamar, « indispensable pour promouvoir l’excellence de la recherche française et de ses applications. »
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KTD-innov a l’ESOT 2019

6/18/2019

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Du 15 au 18 septembre 2019 a lieu l’événement annuel de l’European Society for Organ Transplantation (ESOT) à Copenhague.

L’ESOT est l’organisme cadre européen sous lequel sont organisés tous les professionnels de la transplantation européens. L’organisme forme et soutient ses membres à travers différents programmes européens et à travers des évènements, comme celui de 2019 à Copenhague.​
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Plusieurs membres du consortium KTD-innov ont la chance de pouvoir participer à cet évènement avec le symposium EU Train-ESOT le 15 septembre. Ainsi qu’à travers les différentes conférences comme celle du Dr. Hannah Kaminski du CHU de Bordeaux sur l’“effet de la globuline antithymocytaire sur l’infection à CMV chez les receveurs de transplantations rénales”. Ou encore une intervention du Pr Nassim Kamar lors du symposium Novartis.

Pour suivre les différentes présentations de l'événement, rendez-vous sur #ESOT2019 et sur @KTDinnov.​
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La recherche KTD-innov ça avance ?

5/29/2019

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Le 15 avril dernier a eu lieu le meeting annuel du consortium KTD-innov. Ce meeting permet à tous les partenaires de se rencontrer afin de faire le point sur les avancées de l’étude.

Le consortium @KTDInnov se réunit aujourd'hui au @parcc_inserm ! Cc @InsermIDF

— KTD-innov (@KTDInnov) 15 avril 2019
La réunion était également l’occasion d’échanger avec les représentants de l’Agence nationale de la recherche (ANR), qui a permis la subvention du projet de recherche KTD-innov.

Plusieurs des partenaires sont intervenus lors de cette journée de réunion, notamment Sophie Brouard et Alexandre Loupy, les deux coordinateurs du projet.

​Le succès de ce projets repose notamment sur la quantité et la qualité des données récupérées auprès de patients volontaires. A ce jour, plus de 400 patients ont acceptés de faire partie de cette étude.

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Bordeaux au sein d’une collaboration scientifique pour la greffe rénale

5/21/2019

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Un greffon rénal a une durée de vie d’environ une douzaine d’années, et les causes du rejet des greffons sont souvent méconnues. D’où l’importance du projet de recherche Français KTD-innov qui s’intéresse aux mécanismes de rejet des allogreffes rénales.
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KTD-innov est mené par un consortium public-privé français composé d’équipes de recherche, de centres cliniques et de partenaires industriels.

Le projet démontre d’une collaboration d’acteurs sur l’ensemble des territoires. L’Aquitaine n’est pas en reste. Le CHU de Bordeaux s’est impliqué dès le début dans ce projet avec l’équipe de recherche des Pr. Lionel Couzi et Pr. Pierre Merville.

Des recherches collaboratives et pérennes autour des rejets de greffes à Bordeaux

La participation du CHU de Bordeaux au projet KTD-innov s’est fait naturellement dans le cadre d’une collaboration entre le Pr. Couzi et les deux co-coordinateurs du projet, les docteurs Alexandre Loupy et Sophie Brouard.

Le CHU de Bordeaux a donc rejoint grâce à ce financement un partenariat engagé avec d’autres CHU, ceux de Lyon, Nantes, Toulouse, Montpellier ou encore avec l’APHP.

Au CHU de Bordeaux, l’équipe des Pr. Couzi et Merville mène une recherche translationnelle avec l’unité CNRS-UMR 5164 ImmunoConcept dirigée par le Dr. Julie Déchnet-Merville autour de l‘infection à cytomégalovirus, infection particulièrement fréquente chez les patients transplantés rénaux.

Parmi les autres thématiques de recherches du service, on retrouve le rejet humoral médié par les anticorps anti-HLA, qui est au centre de l’étude KTD-innov. La participation du CHU de Bordeaux au projet KTD-innov va donc favoriser la consolidation d’une équipe de chercheurs grâce à un financement stable d’un projet sur plusieurs années.

Au sein de l’équipe du CHU de Bordeaux menée par les Pr. Couzi et Pr. Merville, 11 personnes travaillent sur le projet KTD-innov, dont trois attachés de recherche clinique. Accompagnés de plusieurs médecins co-investigateurs, ils sont chargés d’accompagner les patients  transplantés dans leur participation volontaire à l’étude KTD-innov.

La collecte de ces données est primordiale pour l’avancée du projet de recherche, car c’est là-dessus qu’elle se base. Comme dans six centres de transplantations en France, l’équipe des Pr Couzi et Merville collecte les données cliniques, biologiques, immunologiques et moléculaires de patients greffés du rein. Ces données sont ensuite anonymisés avant d’être analysées par l’Inserm, le CHU de Nantes, l’APHP et Bio-Rad. C’est en analysant ces données que les chercheurs espèrent mieux connaître les causes complexes du rejet du greffon rénale.

Le projet KTD-innov a beaucoup d’impact pour les différents partis inclus dans la recherche

Pour le Pr Couzi, le projet KTD-innov comporte d’énormes bénéfices pour les patients car il offre une meilleure définition du diagnostic de rejet et doit amener à une amélioration de la prise en charge des patients. Aujourd’hui, alors que l'espérance de vie s’allonge, la durée de vie d’un rein transplanté n’est que d’une douzaine d’année en moyenne. Il est donc urgent de mieux diagnostiquer les signes de rejet pour mieux les prendre en charge et prolonger ainsi la durée de vie des greffons rénaux.
Le Pr Couzi ajoute que KTD-innov est “l’étude multicentrique française, académique la plus ambitieuse et qui a reçu le plus de financement au cours de ces 20 dernières années”.
​Le projet a des avantages sociétaux certains, notamment pour faire face à la pénurie actuelle de don d’organes. De plus en plus de patients dans le monde ont besoin d’une greffe d’organe, mais malheureusement l’offre n’arrive pas à faire face à cette demande accrue. C’est pourquoi ce projet de prédiction de rejet de greffe est important, non seulement à l’échelle française mais à l’échelle mondiale.​​
En utilisant mieux [les reins] on va pouvoir transplanter plus de personnes.

La recherche pour les patients en France et dans le monde

Le projet KTD-innov va générer des connaissances dans la transplantation rénale qui vont être utile pour le personnel médical dans les prochaines décennies. Il a également le potentiel de bouleverser la façon dont la greffe rénale est traité à court et à long terme.

La réussite du projet favorise le financement d’autres études de grande envergure et à fort potentiel. Le consortium a un “impact significatif sur le rayonnement scientifique français dans la transplantation rénale”. Il contribue donc à renforcer le dynamisme de la recherche à Bordeaux, et des centres de recherche français en général, dans le domaine de la transplantation rénale, renforçant ainsi leurs positions d’acteurs majeurs dans le monde.
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KTD-innov à l’ATC 2019

5/14/2019

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L’American Transplant Congress, ou ATC, est la réunion annuelle conjointe entre l’American Society of Transplant Surgeons (ASTS) et l’American Society of Transplantation (AST). Le congrès a pour but de favoriser l’échange d’informations et de technologies innovantes entre les différents professionnels du secteur de la transplantation : médecins chirurgiens greffeurs, infirmières, ainsi que l’ensemble des professionnels du domaine de la transplantation.
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Cette année, le congrès aura lieu entre le 1er et le 5 juin 2019 à Boston, USA. Lors des différentes conférences et des présentations, de nombreux chercheurs vont s’exprimer sur leurs découvertes dans le milieu de la transplantation. Parmis eux, les scientifiques du consortium KTD-innov, représentés par Marc Raynaud, vont présenter l’avancée des recherches françaises du projet, lors d’une présentation s’intitulant : “Modélisation basée sur la population des prototypes et des déterminants des trajectoires de la fonction d'allogreffe après transplantation rénale : Impact sur la surveillance des patients et la stratification des risques.” Une présentation à suivre via les réseaux sociaux le 2 juin à 20h42; heure de Paris, grâce au hashtag #ATC2019Boston et sur @KTDinnov.

Pour plus d'informations, vous pouvez trouver le programme complet de l'ATC 2019 ici.
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Un pas de plus dans l’individualisation des traitements

3/14/2019

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De nouvelles recherches menées par l’équipe du Paris Translational Research Center for Organ Transplantation pourraient aider les cliniciens à déterminer quels seront les patients atteints d'une maladie survenant généralement après une transplantation rénale et lesquels courent un haut risque d’échec de la greffe. Les résultats sont publiés dans le prestigieux Journal of the American Society of Nephrology (JASN).

La glomérulopathie de transplantation est une maladie associée avec la perte d’un greffon rénale. Il n’y a actuellement pas de traitement contre cette maladie hétérogène.
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Communiqué de presse "NOUVELLES INFORMATIONS SUR UN ÉTAT POSTS-TRANSPLANTATION FREQUENT." (en EN)
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​Ces recherches ont pu identifier et caractériser cinq groupes de patients distincts, présentant chacun des résultats différents en terme de survie du greffon.

Cette approche de recherche a été transposé en outil accessible aux cliniciens pour évaluer le risque de perte de greffons chez leurs patients. Ce qui va permettre l’individualisation des traitements des patients selon leur groupe d’appartenance.
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Accès à l'article : Archetype Analysis Identifies Distinct Profiles in Renal Transplant Recipients with Transplant Glomerulopathy Associated with Allograft Survival
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KTD-innov pour la Journée mondiale du Rein le 14 mars

3/13/2019

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Communiqué de Presse pour la Journée Mondiale du Rein 2019
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La Journée mondiale du rein, portée en France par la Fondation du Rein aura lieu le 14 mars prochain. Cette année, le thème choisi a été, les inégalités de prévention, de détection précoce et de traitement des maladies rénales dans le monde, à travers le slogan “Des reins en bonne santé, pour tous, partout”.

Selon l’OMS, la maladie rénale chronique est devenue une question de santé publique touchant 10% de la population mondiale. En France, 3 millions de personnes en souffrent et 87 000 d’entres elles sont soignées par dialyse ou bénéficient d’une greffe de rein. Pour l’Assurance Maladie, le coût de ces soins représente 2% de ses dépenses totales, soit 4 milliards € par an.
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C’est pourquoi le programme d’Investissements d’Avenir subventionne à hauteur de 9 millions € le projet de recherche KTD-innov.

La recherche répond à un besoin réel des patients

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​Pour les personnes souffrant de maladie rénale chronique sévère, une greffe est souvent le choix idéal car moins contraignant et moins coûteux que la dialyse. Malheureusement, en France, moins de 4 000 personnes par an ont la chance de recevoir un nouveau rein, et 1 500 personnes restent encore sur les listes d’attente.
​

La loi du 26 janvier 2016 passée sur le don d’organes a permis sa généralisation mais ne suffit pas à réduire suffisamment la liste des patients en attente d’une greffe de rein. Et il arrive régulièrement que des patients déjà greffés ai besoin d’un nouvel organe quelques années après leur greffe. C’est pourquoi, le projet KTD-innov cherche une solution pour que le greffon de rester viable plus longtemps. Cette solution permettra une personnalisation du suivi médicale des patients greffés.

L’innovation dans la recherche

Le projet KTD-innov propose une approche unique qui mêle des données cliniques, biologiques, immunologiques et moléculaires du patient. Elle permet une vision globale du patient et une analyse unique au monde.
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Grâce au financement de l’Etat Français, KTD-innov va faire progresser les connaissances et la prédiction de réussite de greffes. C’est grâce à cette innovation que les patients peuvent déjà espérer une individualisation de leur traitement et une augmentation de la vie de leur greffon à l’horizon 2022.

Suivez la campagne de la Journée Mondiale sur Twitter

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Alexandre Loupy au CEoT 2019

2/27/2019

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Le Cutting Edge of Transplantation (CEoT) 2019 a eu lieu du 21 au 23 février 2019 à Phoenix, USA. Le thème de cette année était "No size fits all : uncovering the potential of personalized transplantation" (Aucune taille ne convient à tous : découvrir le potentiel de la transplantation personnalisée).

L'objectif de leur rencontre annuelle est de faire progresser les soins individualisés aux patients greffés au moyen de nouveaux algorithmes ou de nouvelles pratiques, et ce, pendant toute la durée de leur transplantation.

C'est pourquoi le Dr Alexandre Loupy a présenté les travaux de l'équipe KTD-innov à l'aide de deux présentations orales, présentant l'avancement de la recherche et la façon dont elle pourrait aider les patients transplantés à l'avenir en réduisant les risques de rejet.

@ParisTxGroup : Thanks for sharing The work done by your group + @AlexandreLoupy is one of the most encouraging things to improve long-term outcomes + accelerate innovation in #transplantation Thank you for your leadership #CEoT2019 #nephJC https://t.co/wgWyIn5dVs

— Kevin J. Fowler (@gratefull080504) 23 février 2019

Le CEoT est une réunion organisée chaque année depuis 2013 par l'American Society of Transplantation (AST). L'organisme a été fondé en 1982 et compte maintenant 3 800 professionnels de la santé. Leur but est de promouvoir à la fois le domaine de la transplantation et les soins aux patients par la recherche, l'éducation, la défense des droits et les dons d'organes.
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Ciné-Débats à Nantes pour la Semaine Nationale du Rein

2/14/2019

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Partout en France, du 9 au 16 mars 2019, aura lieu la Semaine Nationale du Rein. Pour cette occasion, le CHU de Nantes organise une série de 3 ciné-débats ouverts à tous. Trois films différents seront présentés et les projections seront suivies de débats avec les réalisateurs, des patients et des professionnels de santé.
  • Mardi 12 mars à 19h30 
    « La montagne dans le sang »  : La participation d’un patient à la diagonale du fou
  • Jeudi 14 mars à 19h30
    « Le temps retranché » : les ressources physiques et mentale pour dépasser le traitement par dialyse
  • Samedi 16 mars à 10h
    « L’esprit de famille » ; Deux frères face à la question de donner un rein à leur soeur

Adresse : amphithéâtre Bias, faculté de pharmacie, 9 rue Bias, Nantes - France
La participation est libre et gratuite. En savoir plus sur le site du CHU de Nantes.
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Entretien avec Sophie Brouard, directrice de recherche au CHU de Nantes et co-coordinatrice de KTD-innov

12/13/2018

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Sophie Brouard, directrice de recherche à Nantes
Sophie Brouard, directrice de recherche à Nantes et co-coordinatrice du projet KTD-innov - ©studioah
Et s’il était possible de mieux connaître les mécanismes immunologiques autour du greffon rénal et d’améliorer le diagnostic de rejet de greffe ? C’est le point de départ du projet KTD-innov sur lequel collaborent des équipes de recherche, des centres cliniques et des partenaires industriels.
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Parmi les partenaires du projet figure l’équipe du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Nantes. Entretien avec le Dr Sophie Brouard, directrice de recherche à Nantes et co-coordinatrice du projet.

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KTD-innov au Congrès de la SFT

12/3/2018

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La Société Francophone de Transplantation (SFT) accueille à Toulouse les spécialistes de la transplantation d'organes solides du 4 au 7 décembre 2018. Des partenaires du projet KTD-innov sont présents sur l'événement.
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Le Congrès annuel de la SFT, qui se réunit cette année pour la 18ème fois, est l'événement incontournable des professionnels de la transplantation en France.  Destiné à toutes les personnes médicales et paramédicales impliquées dans la transplantation, le Congrès permet aux intervenants de réputation internationale de partager les derniers progrès médicaux du domaine.
L'événement est organisé par le CHU de Toulouse qui est partenaire du projet KTD-innov. L’activité de greffe constitue un axe fort au sein du CHU de Toulouse avec près de 320 greffes par an.
Télécharger le programme du 18ème Congrès de la SFT
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10 lauréats pour le programme de Recherche Hospitalo-Universitaire en santé

9/17/2018

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Agnès BUZYN, Ministre des Solidarités et de la Santé, Frédérique VIDAL, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et Louis SCHWEITZER, Commissaire général à l’investissement, ont annoncé fin 2017 l’attribution de 74,5 M€ aux 10 lauréats de ce troisième appel à projets « Recherche Hospitalo-Universitaire en santé » (RHU). ​
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Communiqué de presse
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​L’appel à projets « Recherche Hospitalo-Universitaire en santé » (RHU) du programme d’investissement d’avenir, dont l’opérateur est l’Agence Nationale de la Recherche, vise à soutenir des projets de recherche innovants et de grande ampleur dans le domaine de la santé. Focalisés sur la recherche translationnelle, les projets RHU associent secteurs académique, hospitalier et entreprises.

Pour cette troisième vague, le jury international a examiné 52 dossiers sur des critères de qualité scientifique, d’innovation mais aussi sur leur potentiel en matière de retombées médicales et socioéconomiques. Il a proposé 10 projets pour financement couvrant des aires thérapeutiques et des besoins variés. Ces projets démontrent que l’excellence française dans certains domaines technologiques d’avenir, devient un élément central pour la recherche biomédicale. De nombreux projets s’appuient ainsi sur l’analyse génomique et le big data pour la mise au point de diagnostics ou de traitements. Les technologies du numérique sont également présentes dans les dossiers sélectionnés (imagerie, implants connectés etc.).

L’exigence collaborative a contribué à renforcer les liens au sein de l’écosystème hospitalo-universitaire (établissements santé, organismes de recherche et universités) non seulement sur un site, mais également sur l’ensemble du territoire, de nombreux projets regroupant des expertises de régions différentes.

​liste des projets financés

Le projet KTD-innov, (8 794 510 €) a pour but de prévenir la perte des greffons rénaux en améliorant le diagnostic du rejet, en prédisant le risque de perte de greffon à long terme et de réponse au traitement anti-rejet. KTD-innov s’est fixé comme objectif d’être la première solution intégrée en transplantation rénale combinant la médecine moléculaire et la technologie d'information de santé pour fournir un système de surveillance et de diagnostic immunitaire de précision appliqué à la transplantation rénale. Le projet est porté par les Pr. Alexandre Loupy (Paris). 

Le projet CiL’LICO, (5 976 352 €) propose une nouvelle approche pour la prise en charge d’un groupe de maladies génétiques rares et graves, les ciliopathies qui provoquent la dégradation de la fonction rénale et débouchent sur une insuffisance rénale terminale. Le projet est porté par le Pr. Stanislas Lyonnet, directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Imagine (Paris).

Le projet cirB-RNA, (5 910 166 €) vise la mise au point d’un test de diagnostic pour accompagner le développement des traitements curatifs de l’hépatite B, aujourd’hui inexistant malgré une maladie qui touche plus de 240 millions de personnes dans le monde. Le projet est porté par le Pr. Fabien Zoulim (Lyon).

Le projet EPINOV, (5 800 000 €) a pour objectif d'améliorer les stratégies neurochirurgicales en introduisant une approche novatrice de modélisation du cerveau. En prenant comme modèle l’épilepsie, le « cerveau virtuel » du patient permettra la localisation plus précise de la zone epilogénétique, orientant ainsi une stratégie chirurgicale optimale et par conséquent améliorent les résultats de la chirurgie. Le projet est porté par le Pr. Fabrice Bartolomei (Marseille).

Le projet FollowKnee, (7 900 000 €) propose d’améliorer le design, la pose et le suivi des prothèses implantées dont le nombre a explosé ces 20 dernières années (+600%) en raison notamment de leur implantation chez une population plus jeune et souvent concernée par l’obésité. FollowKnee est porté par le Pr. Eric Stindel (Brest).

Le projet MyProbe, (9 294 317 €) vise à développer des outils efficaces pour identifier les risques élevés de rechute du cancer du sein et ainsi réduire l’utilisation de traitements supplémentaire coûteux et lourd pour les patientes. MyProbe est piloté par le Pr. Fabrice André de l’Institut Gustave Roussy (Villejuif).

Le projet PERFUSE, (8 000 000 €) propose d’améliorer la prise en charge du cancer de la prostate, grâce à l’ablation par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU) permettant de ne cibler que la zone où est présente la tumeur. Le projet est porté par le Pr. Sébastien Crouzier (Lyon).

Le projet PIONeeR, (8 502 312 €) vise à surmonter la résistance au traitement par immunothérapie contre le checkpoint inhibiteur PD-1 dans le traitement du carcinome pulmonaire. L’apparition de ces nouvelles thérapies a permis des progrès considérables, cependant seuls 20 à 25% des patients sont pleinement répondeurs et à ce jour, aucun facteur de prédiction de l’efficacité ou de résistance n’a été validé. Le projet est porté par le Pr. Fabrice Barlesi (Marseille).

Le projet QUID-NASH, (8 745 683 €) vise à révolutionner la prise en charge des stéatoses hépatiques nonalcooliques (NASH) associées à un diabète de type 2 en développant une biopsie virtuelle qui permettra de mieux diagnostiquer et stratifier les malades, mais également de faciliter le développement de traitements spécifiques de la NASH. Le projet est porté par le Pr. Dominique-Charles Valla (Paris)

Le projet WillAssistHeart, (5 600 000 €) vise à proposer de nouvelles stratégies de diagnostic et de traitement des saignements chez les patients sous assistance circulatoire mécanique. Le consortium focalisera ses travaux sur le facteur de risque de saignement le plus connu : le facteur de von Willebrand. Ce facteur est en effet cisaillé quand il est exposé aux perturbations du flux sanguin créées par le dispositif d’assistance circulatoire mécanique. Le projet est porté par la Pr. Sophie Susen (Lille).
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    Pour élucider les mécanismes du succès ou de l’échec d’une greffe de rein, KTD-innov collecte, centralise et analyse des données cliniques, biologiques et immunologiques de milliers de patients greffés du rein en France.
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